Maxime Louet s'est intéressé aux mécanismes d'activation des protéines G au cours de sa thèse qu'il a soutenu en 2012 à l'Université de Montpellier. Il a ensuite rejoint l'Institut pour les études théoriques d'Heidelberg, en Allemagne, pour un post-doctorat axé sur le développement d'une méthode permettant d'étudier les communications allostériques au sein de systèmes biomoléculaires simulés par dynamique moléculaire. Par la suite, il a rejoint l'INSERM (U973) à Paris pour un second post-doctorat à l'INSERM sous la direction de Bruno Villoutreix, où il a concentré ses travaux sur les interactions moléculaire et plus spécifiquement les interactions protéines-ligands au travers du canal chlorure ClCKb et du cytochrome P450 2C9. Maxime Louet a finalement intégré l'Université de Montpellier et l'IBMM en 2017 en tant qu'enseignant-chercheur où il concentre ses efforts de recherche en modélisation moléculaire sur les récepteurs couplés aux protéines G et ses partenaires  Il est aussi impliqué dans plusieurs projets pluridisciplinaires en collaboration avec les chimistes médicinaux de l'institut pour la conception et le développement de molécules thérapeutiques. Ses activités d'enseignement sur la faculté de pharmacie, la faculté des sciences et l'école de chimie de Montpellier traitent de la physico-chimie, la chimie physique et la modélisation moléculaire.