Maxime Linard
Fonction : Doctorant
Mots-clés : Abeille , Cognition , Electrophysiologie , Neurosciences , Pesticides
Équipe : F17 - Pharmacologie de la Transmission Synaptique & Neuroprotection
Employeur : Université de Montpellier
Email Pro : Maxime.linard[a]umontpellier.fr
Bureau n° : N2C13
Téléphone : 04 48 79 20 68
Publications
Biographie
Il a ensuite intégré le Cogmaster, un double master en Sciences, Techniques et Santé et en Sciences Humaines et Sociales, co-porté par l’École Normale Supérieure de Paris, l’Université de Paris et l’École des Hautes Études en Sciences Sociales. Au cours de ces trois années à l’École, il a étudié la psychologie cognitive, la linguistique, la modélisation, l’anthropologie, l’écologie, la philosophie, l’ingénierie cognitive — notamment appliquée à l’éducation — ainsi que les neurosciences. Maxime a centré ses travaux sur la mémoire, le sommeil et les rêves, explorant différentes échelles de la recherche en neurosciences cognitives au travers de quatre stages longs : en psychophysique à l’Integrative Neuroscience Cognition Center sur la perception visuelle humaine ; en neurosciences cognitives intégrées chez l’animal au Collège de France sur les processus mnésiques pendant le sommeil chez le rongeur ; en neurosciences cognitives humaines à l’Institut du Cerveau de Paris sur les effets de la kétamine sur le sommeil local ; et enfin en neurosciences intégrées chez l’humain au Laboratoire de Neurosciences Cognitives de Lyon sur l’impact de l’épilepsie dans le rêve.
À la suite de la lecture des rapports du GIEC, il a pris conscience de l’urgence climatique et a souhaité s’engager dans l’éducation aux enjeux de la transition écologique et sociale. Il a ainsi travaillé pendant deux ans pour le Campus de la Transition, intervenant auprès du public universitaire dans le cadre de formations.
Finalement, Maxime a choisi de poursuivre en thèse sur un sujet à l’intersection entre son intérêt pour les neurosciences cognitives et pour la préservation du vivant. Il a rejoint l’équipe Pharmacochimie de la Transmission Synaptique, où il étudie l’impact des pesticides sur le neurodéveloppement et la cognition de l’abeille, à l’échelle moléculaire, anatomique et comportementale.
